Sortie de mon premier roman : L’araignée et les volets de bois

Honda Africa Twin, la porteuse de rêves. - L'essai de Moto Revue

Index de l'article

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Moto Revue publie également un essai dans son numéro du 10 décembre. Il aurait été étonnant qu’il ne soit pas élogieux.

Le journaliste  indique dès le début que l’organisation de ces essais par Honda a permis de bien cerner la moto car les essayeurs ont eu droit à deux longues journées de roulage, avec des kilométrages importants et des terrains très variés. Preuve s’il en est que le constructeur avait toute confiance dans sa moto en permettant aux personnes présentes de la pousser dans ses derniers retranchements, que ce soit sur route ou en tout terrain.

On retrouve les mêmes compliments.

Moto fine, et élancée avec une ergonomie très agréable et une grande souplesse des commandes.

Le moteur est « rond » et dénué de vibrations trop envahissantes. En outre, il possède de belles vocalises.

La facilité de conduite est « sidérante » dès les premiers tours de roues.  Neutralité de la moto, grand confort, rondeur mécanique, tout cela contribue à une confiance absolue après quelques centaines de mètres.

Le filtrage des aspérités est « bluffant », la boîte de vitesses manuelle d’une « douceur exemplaire », le freinage « rassurant ». Le seul reproche est une plongée de la fourche sur les freinages appuyés, rançon des grands débattements.

Sinon, « elle frise le sans-faute ».

Même malmenée dans le sinueux bosselé, elle est restée « impériale », autorisant « l’improvisation avec beaucoup de relâchement ».

Contrôle total du train avant, pas de « verrouillage en entrée de virage sur les freins ».

Bonne protection de la bulle. Comme quoi, ces bulles réglables ne sont pas la panacée.

Moteur efficace. Le journaliste aurait aimé davantage de « personnalité à haut régime ».

Malgré tout il écrit que le moteur « est plein comme un œuf, jamais avare en couple pour des relances efficaces » et souligne son acoustique soignée.  

La boîte DCT est considérée comme aboutie.

En tout terrain, la moto conserve « la superbe affichée sur la route ».

 

Si on avait encore des doutes sur les qualités de la nouvelle Africa Twin, on peut dire sans se tromper qu’ils sont effacés ! La moto réalise un véritable carton plein. Ce qui me plait, c’est d’y être parvenu en refusant cette course à la technologie trop souvent présente aujourd’hui. Cela donne une moto simple, à l’équilibre parfait, et qui me donne  une furieuse envie de rouler. Elle est telle que je l’avais imaginée début août, je dirais même qu’elle va bien au-delà de ce que j’espérais. Une sacrée performance de la part de Honda qui a dû faire plancher ses meilleures équipes pour parvenir à un tel résultat.